Introduction Cours de photographie numèrique - Introduction

Ce cours propose sur le WEB ce tenu en Rome, en 2005, pour le Centro Multiculturale Risvolti et en suite pour l' école d'Etat Antonio Gramsci.
L'actuelle version est caractérisée, comme le cours réalisé pour l’école Antonio Gramsci, par un plus direct rapport avec la photographie numérique.
Bien que n'existe pas une substantielle différence avec l'argentique, on a retenu opportun se référer essentiellement à ce qui concerne le numérique, en marquant les différences, là où il y en a, en rapport à la photographie traditionnelle.
Partant on a considéré utile ajouter une section où sont examinées les différences entre les deux systèmes d'enregistrement des images : argentique et numérique.
Il reste confirmée le choix de traiter tous les arguments d'une façon la plus possible compréhensible à tous ceux qui ont un intérêt à apprendre et soient disponibles à faire un petit effort, toujours nécessaire pour apprendre des notions nouvelles.
Un tel choix est conforté par l'expérience vécue pendant les cours précédemment réalisés fréquentés aussi par des personnes n'ayant aucune connaissance de photographie et, parfois, dépourvues d'un appareil photographique.
Ce malgré, sans difficulté ont été développés les thèmes concernant l'importance expressive de tout aspect technique et leur relevance pour la composition de l'image.
Pour le rendre accessible aux débutants on a retenu de sacrifier, parfois, une trop lourde exposition des certains aspects techniques non-indispensables pour une correcte réalisation d'une photo, telles que les notions de physique optique. Ce choix explique le niveau très simple d' aucuns points du cours.
Ces simplifications ont été surmontées par la création de liens qui renvoient à des autres pages contenant une exposition plus approfondie.
Le lecteur plus expert excusera, partant, de petites inexactitudes qui, comme déjà dit, n'on aucune importance pour une correcte réalisation de l'image et en ce qui concerne la conception de la photographie entendue comme moyen d'expression.
Une exemplification est donnée par la représentation de l'objectif comme constitué par une lentille seulement.
Cela au fin d' avoir une correspondance parfaite entre la focale et la distance de l'objectif du support d' enregistrement ( capteur ou pellicule ).
Aussi la notation concernant les capteurs introduit quelques simplifications. Une tractation plus approfondie aurait rendu obligatoire l’introduction de notions trop techniques sans aucun avantage regard à l'habilité de contrôler la prise de vue.
Comme a été déjà dit, où considéré utile pour qui aime une compréhension de tout aspect, on a donné au lecteur la possibilité de se plonger dans le domaine technique grâce à des liens qui amènent à de notations plus détaillées.
Cette organisation donne la possibilité d'un accès facilité aux éléments techniques essentiels pour une correcte exécution de la prise de vue, mais, au même temps, permet de faire comprendre la complexité du processus photographique dont le début est constitué par le choix de la pellicule et se prolonge jusque au traitement de l'image enregistrée et à son impression.
L'avènement du numérique, on peut dire, a anticipé le début du processus en le faisant coïncider avec le choix de l'appareil qu'on achète. Après ce moment nulle chose pourra être modifié.
Dès ce moment la possibilité d'une fidele reproduction ne sera plus possible, sauf si on achète un autre appareil.
Malgré la brévité du cours, une attention particulière a été réservée aux aspects concernant la composition et aux éléments sur lesquels se base la photographie.
C'est à cause de la conviction que toute photo doit résulter “lisible” (voir compréhensible ) à son destinataire soit-il un client ou l'auteur lui-même. Il n’est pas rare que l'amateur en regardant ses images, ne comprend plus les motifs de sa prise de vue ou n'y retrouve pas l'émotion qui l'avait poussé à shooter. Enfin, pourquoi la moins originale des photos ne devrait pas être bien composée et bien exposée ?

Je crois que la lecture de ce cours peut réussir intéressante aussi pour tous ceux qui, ayant une bonne connaissance, de la technique photographique, aiment saisir une nouvelle occasion pour réfléchir sur l'importance de la composition et sur les élément qui contribuent à sa définition. A ce propos , bien intéressants, sont les schémas de compositions et les réflexions sur le " composants" d'une photo.
Un intérêt particulier devrait être donné à la section consacrée à l'évaluation des images et à la galerie pour une meilleure considération de l'importance du nombre des pixels en rapport à la qualité de l'image et a l'influence des différentes possibilités de manipulation de l'image.
On rappelle, enfin, la section dédiée à une confrontation serrée entre l'argentique et le numérique pour une évaluation des leurs avantages et désavantages. Il est surprenant que malgré la diffusion actuelle des numériques reste encore peut connue une correcte perception des effectifs avantages et désavantages.

Un aspect pas encore suffisamment développé regarde la question la plus importante : qu'est-ce qu'une photographie ?

Sans avoir aucune prétention de donner une réponse sûre, la question est traitée considérant le rapport, difficile à définir, entre peinture et photographie.
Un rapport qui historiquement, du début du nouveau art, a été immédiatement très vif.
Ce qu'on doit considérer une photographie est la seule et véritable question à la quelle chacun de nous , soit-il un photographe ou non, doit répondre.
Une question, que d’une façon beaucoup réductive , on peut limiter à la suivante: est-elle documentation de l’existant ?
Une réponse affirmative devrait exclure toute photo publicitaire et imposerait de choisir jusque à quel point il est permis de manipuler les images.
Chaque processus photographique se trouve, toujours, à se confronter avec cette question : du choix de la pellicule jusque au déclanchement; cela sans oublier les phases successives : développement, travail dans la chambre noire ou à l’ordinateur et, enfin , l’impression qui entraine aussi le choix du papier. Le choix de la longueur focale, l’utilisation de filtres, etc., tout ça dépend de notre conception de la photographie : une idée absolument personnelle. Car personnelle est aussi l’idée de ce qui est documentation véritable.

Moi, personnellement, je crois qu’il y a seulement une affirmation sûre : le processus photographique peut répondre à des exigences très différentiées : publicité et, donc utilisation d’images absolument imaginaires et même irréelles ( de même à ce qu’on peut réaliser par la peinture), mais il peut aussi avoir pour but une documentation la plus réaliste ( voir, documentation scientifique).
Ce dernier cas impose une limitation très forte à toute manipulation : mieux, chaque intervention ne peut avoir pour but que une amélioration d’une reproduction la plus fidèle au réel.
Tout autre genre de photographie doit rapporter les limitations de la manipulation au but de la prise de vue. A tous ceux qui sont intéressés à la photographie comme moyen de communication, ce cours peut donner une occasion ou, s’ ils préfèrent, une invitation à réfléchir sur « la question » proposée dessus et à évaluer tout ce qu’il y a exposé en thème de composition et « construction » des images.



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